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Baby can i hold you, tonight (alec)

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A. Blue-Lennon Fitzgerald
A. Blue-Lennon Fitzgerald

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Date d'inscription : 26/06/2012


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MessageSujet: Baby can i hold you, tonight (alec) Baby can i hold you, tonight (alec) EmptyMer 21 Juin - 16:25

Baby can i hold you, tonight (alec) Tumblr_nwckjwwNkA1t3zl0lo5_r1_250 Baby can i hold you, tonight (alec) Tumblr_nwckjwwNkA1t3zl0lo6_r1_250
I wanted to save you, but I can only save myself
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It takes two, two sides to every story. Not just you, I can't keep ignoring I admit half of it, I'm not that innocent. It takes two, two sides to every story. Not just me, you can't keep ignoring, but let me be first baby to say I'm sorry - Maxyne & Alec

Le quart de siècle, déjà. Les années semblent défilées à une vitesse folle et les bougies s’accumulent. Cette année, ce sera la neuvième qu’elle ajoutera sur la crème glacée de son gâteau d’anniversaire depuis le décès de son père. La neuvième depuis qu’elle a rejoint la famille Monroe. Et pourtant, elle a l’impression que c’était encore hier, l’époque où elle vivait avec son père aimant dans un petit appartement d’Echo Park. Penchée au-dessus de l’évier de la salle de bain de l’immense demeure familiale des Dunham, Maxyne serre le médaillon qu’elle porte autour du cou, fermant les yeux un instant sous le poids de la nostalgie.  Elle se remémore un instant les traits du visage de son paternel, de son sourire et de ses yeux rieurs, des gaufres qu’il lui préparait toujours et des promenades au zoo qu’ils faisaient lorsqu’elle était une enfant. A ces côtés, elle s’était toujours sentie spéciale et particulièrement le 17 Juin, jour de son anniversaire. Depuis sa disparition tragique, cette date lui laisse désormais un goût amer dans la bouche, comme une piqûre de rappel lui remémorant douloureusement tout ce qu’elle a perdu et plus précisément les gens qui ne sont désormais plus là pour l’entourer et la soutenir lorsqu’elle souffle ses bougies.

Expirant avec conviction, elle se libère de la peine qui assombrit peu à peu son cœur et cligne plusieurs fois des yeux pour ravaler ses larmes et la morosité qui gagne peu à peu son esprit. Reprenant un peu d’aplomb, elle se force à sourire, elle occupe son esprit avec des pensées positives et finit de se maquiller. Concentrée, elle souligne son regard d’un trait fin d’eyeliner accompagné d’un peu de mascara. Ses doigts tremblants descendent ensuite sur sa lèvre légèrement gonflée reflet de ses imperfections, de son âme brisée, de sa colère sourde. En un mot, de son mal-être. Depuis le décès de sa mère quelques mois auparavant, Maxyne n’est plus que l’ombre d’elle-même, elle n’est plus qu’une version plus sombre, plus morose lui rappelant celle qu’elle était autrefois durant son adolescence. Elle est instable, en colère et rongée par les regrets. Jamais elle n’entendra sa mère prononcer les mots qu’elle a toujours désirer entendre : je t’aime. La mère et la fille n’ont jamais pu se réconcilier. Maxyne restera toujours l’erreur, l’enfant non désirée, la bâtarde… Une nouvelle fois, elle se sent orpheline, abandonnée. Elle essaye de faire bonne figure, de cacher son mal-être, de retrouver goût à la vie mais elle n’arrive pas à se libérer de cette douleur sourde qui lui serre la poitrine et qui l’empêche d’avancer. Elle se sent tellement impuissante et détruite, elle a l’impression de n’être que simple spectatrice de sa propre vie. Elle observe un instant ses mains marquées de fines cicatrices, théâtre de son échec, de cette descente échouée dans les bas quartiers de LA. Un frisson lui parcourt l’échine, elle sent encore ses mains se fracassaient sur la mâchoire du suspect, le contact avec son sang chaud. Elle ressent encore toute cette rage, cette colère refoulée qu’elle avait déversée sur lui, ce désespoir dans lequel elle tirait toute son énergie et qui lui avait permis de rester en vie et de s’en sortir qu’avec de simples blessures. C’était la première fois qu’elle s’emportait de la sorte et qu’elle désobéissait aux ordres. Simple observatrice, c’était ce qu’elle était supposée être ce jour-là. A la place, elle avait eu l’impression de se retrouver dans la peau de Hulk.

Grimaçant, elle s’applique à déposer une fine couche de gloss sur ces lèvres. C’est à cet instant précis que Magdalena, sa cousine et organisatrice de l’évènement tape discrètement à la porte l’informant que quelques invités sillonnent déjà la pelouse et se sont attaqués aux hors-d’œuvre. La brune lui affirme qu’elle descend d’une minute à l’autre. Elle plisse sa nouvelle robe achetée pour l’occasion, vérifie une dernière fois ses boucles qui tombent en cascade le long de son dos. Elle se sent terriblement nerveuse par la soirée qui s’annonce, elle n’a pas l’habitude d’être sous le feu des projecteurs, d’être la reine de la soirée et par extension le centre de l’attention ce qui a le don de la mettre mal à l’aise. Si elle avait été décisionnaire, elle aurait passé la soirée au calme dans son petit appartement dans un pyjama confortable devant la télévision avec une bière et une bonne pizza. Cependant, comme le lui avait rappelé Magda, les vingt-cinq ans ça se fête et avec panache.

Après un dernier souffle rempli de conviction et de bonnes intention, elle se dépêche de rejoindre le patio à l’arrière de la maison des Dunham ainsi que les invités rassemblés pour l’occasion. Un sourire admiratif se loge rapidement sur ses lèvres, les lieux sont décorés avec goût et délicatesse, une douce lumière se diffuse à travers les différentes lanternes suspendues aux quatre coins de l’immense terrasse qui longe la piscine. Divers buffets ont été mis en place et les serveurs distribuent boissons alcoolisés et petits fours. Il n’y a pas à dire, sa cousine s’est surpassée en lui organisant cette soirée, elle a à nouveau cette impression d’être unique, spéciale. A chaque sourire échangés, à chaque embrassade supplémentaire avec ces convives, son cœur se réchauffe un peu plus et elle sent peu à peu cette noirceur paralysante se dissiper. Finalement, elle n’est pas seule, ils sont là pour elle. Un franc sourire sur les lèvres, Maxyne observe ses amis, sa famille, ses collègues rire, s’amuser et profiter de cette belle soirée de Juin sous un ciel sans nuages et chargé d’étoiles, elle n’aurait pas pu imaginer plus belle soirée.  

Une coupe de champagne à la main, elle rit avec son demi-frère Asher qui ne cesse de la taquiner sur son âge et son célibat. A son tour, elle taquine sa meilleure amie Ludmila, elle a le cœur léger et boit avec entrain entre deux exclamations. Jusqu’à ce que ses yeux se posent sur lui. Elle croit un instant rêver sa silhouette. Mais non, il est bien là, elle l’aperçoit derrière quelques convives. Le visage de la brune s’assombrit un instant, une boule se forme aux creux de son ventre, elle finit sa coupe de champagne d’une traite afin de s’offrir une nouvelle contenance, mais elle n’entend plus que la conversation en écho. Elle ne peut détacher ses yeux de lui, son fantôme du passé, Alec Malone. Malgré les années qui défilent, elle n’arrive pas à oublier ce premier amour, à tourner la page. A l’époque, il était sa bouée de sauvetage quand elle en a eu besoin, un ami puis un amour sur lequel elle avait pu compter alors qu’elle faisait face au décès tragique de son père. Elle s’était jetée corps et âme dans cette relation destructrice, elle lui avait même offert sa virginité. C’est pourquoi, bien qu’elle ne regrette rien, il l’avait anéanti, détruite quand il avait mis un terme à leur relation… Encore aujourd’hui, bien qu’elle est besoin d’une fin moins tragique, elle n’arrive pas à le confronter, elle se contente de fuir comme toujours lorsque la situation s’avère trop complexe.  

Elle ne sait pas combien de temps, elle est restée là à l’observer avec discrétion, se contentant de sourire et de ponctuer de petits rires les paroles échangés dans son cercle d’amis. La surprise gagne son visage lorsqu’elle le voit soudainement faire demi-tour, remontant l’allée des Dunham et quittant les lieux. Etrangement bouleversée par les évènements, elle s’excuse à demi-mots auprès de ses amis et s’isole à l’intérieur de la maison, attrapant une coupe de champagne au passage. Dans le petit salon, elle fait les cent pas, essayant de prendre une décision, une irrésistible envie d’aller le retrouver lui brûle les entrailles. Une envie de croiser son regard sans gêne, ni souffrance, d’obtenir enfin une réponse après toutes ces années de silence à s’ignorer. Mais elle tente d’ignorer cette envie, cette petite voix dans sa tête et d’être raisonnable. Il ne lui doit aucune explication, il est temps qu’elle passe à autre chose et qu’elle le raye définitivement de sa vie. Mais leur complicité lui manque définitivement trop. Finissant sa coupe, une nouvelle fois d’une traite, pour se donner du courage, elle se jette à l’eau et plus précisément à l’extérieur de l’immense demeure, elle franchi le portail pour se retrouver dans la large avenue de la banlieue chic de Triangle Platinium simplement éclairée par des lampadaires. Regardant à gauche comme à droite, elle aperçoit sa silhouette au loin. « Alec… » souffle-t-elle à demi-mot, mais il est bien trop loin pour l’entendre. Alors soudainement, elle se sent pousser des ailes, ses talons commencent à frapper le bitume pour aller à sa rencontre. Elle hâte le pas, mais il semble s’éloigner de plus en plus. Agacée, elle s’arrête pour retirer ses échasses et se lancent à sa poursuite pieds nus, chaussures à la main. « Alec… Attends-moi… » lance-t-elle lorsqu’elle se trouve quasiment à sa hauteur. Dans son élan, elle se saisit du poignet du jeune homme pour l’inviter à se retourner. Ce simple contact, l’électrise, elle frissonne malgré les douces températures. Mais ce n’est rien comparé à ses joues qui rosissent lorsqu’elle croise son regard. Gênée, elle se mord la lèvre inférieure et retire sa main, libérant son poignet. Elle se sent soudainement bien idiote à se tenir en face de lui, ses chaussures à la main, en plein milieu de rue. Elle entre-ouvre ses lèvres rosées pour parler, mais aucun son n’en sort. Elle soupire, fixe un instant le sol à la recherche d’une échappatoire. Elle aurait dû réfléchir avant à ce qu’elle comptait lui dire. « Je suis désolée » Ce sont les seuls mots qui réussirent à franchir ses lèvres dans un murmure. Elle ne sait pas pourquoi elle s’excuse, mais elle avait besoin de prononcer ces mots.  


Dernière édition par A. Blue-Lennon Fitzgerald le Mer 21 Juin - 16:26, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Baby can i hold you, tonight (alec) Baby can i hold you, tonight (alec) EmptyMer 21 Juin - 16:25

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I wanted to save you, but I can only save myself
maxyne coleman and alec malone ※  a l e x y n e
“I keep thinking about this river somewhere, with the water moving really fast. And these two people in the water, trying to hold onto each other, holding on as hard as they can, but in the end it’s just too much. The current’s too strong. They’ve got to let go, drift apart. That’s how it is with us. It’s a shame….because we’ve loved each other… But in the end, we can’t stay together forever.


Durant quelques secondes ses pensées s’évadent au loin, il a l’impression que le monde autour de lui n’existe pas. D’ailleurs, la voix qu’il entend lui paraît à des années lumières tellement il n’écoute pas les mots qui sort de la bouche de la jeune femme qui semblent concentré sur le monologue auquel elle ne se rend pas compte. Alec inspiré profondément se demandant ce qui lui a apprit d’accepter la demande de Ludmila — Celle de l’accompagner à cet anniversaire. Une part de lui savait que c’était la chose à ne pas faire alors pourquoi avait-il dit oui ? Parce que surement que Ludmila était forte pour le convaincre de faire des choses à laquelle il savait il n’aurait pas dû faire. « Je crois que c’est une erreur » sa bouche s’ouvre doucement laissant les quelques paroles sortir sans pour autant revenir à la réalité à laquelle il n’a guère envie de revenir. Il soupire un instant tout en sentant derrière lui Ludmila qui reste silencieuse avant de sourire, il n’a pas besoin de le voir, il le sait autant qu’il sent sa main sur son bras comme pour le rassurer ne cessant de lui dire que c’est la chose à faire parce qu’il en avait besoin, mais aussi parce qu’il lui devait cela. Si d’habitude il était le premier a accepté tout type d’invitation, aller à cet anniversaire lui avait semblé être la pire idée possible surtout quand il savait que Maxyne risquerait de ne pas apprécier de le voir, Ludmila avait beau lui dire qu’il serait surpris, chose qu’il n’en doutait pas il ne croyait aucunement qu’elle serait contente de le voir et il ne la blâmait pas pour ça. Alec avait été le pire enfoiré avec elle et il le savait autant qu’il savait qu’il l’avait fait souffrir de la pire façon possible. Il ferma les yeux un instant sentant un frisson le parcourir assez pour le faire sursauter avant de se retourner vers celle qu’il considérait comme sa jumelle. Elle n’avait toujours rien dit, car elle savait combien faire face à son ex petite amie était difficile pour lui, mais elle semblait convaincue qu’il en avait besoin. « Honnêtement c’est une mauvaise idée, je crois que je ferais mieux de rester ici tu ne crois pas que j’ai assez fait souffrir Maxyne tu veux quoi qu’elle garde un mauvais souvenir de son anniversaire ? » Alec s’était posé sur le lit se laissant tomber en arrière posant ses bras sur son front fermant un instant les yeux sentant le bruit des talons de la jeune femme se rapprocher de lui. « Tu dois le faire, tu lui dois ça, elle a besoin de savoir et c’est surement le meilleur moment pour le faire, tu n’es plus le même Alec » il savait parfaitement qu’elle ne le lâcherait pas, qu’elle ne comptait pas le laisser faire demi tour et fuir comme il l’avait fait il y a plusieurs années de cela. A l’époque, Alec avait choisi la fuite lorsqu’il avait pu doucement s’attacher surement trop à Maxyne, mais aussi parce qu’il savait qu’il l’aurait détruit face à la drogue et à la vie de débauche qu’il vivait et il n’avait pas voulu l’emmener avec lui. Il se rappel encore de ses yeux mouillés quand il lui avait dit qu’il ne voulait plus la voir, que c’était mieux pour eux, mais surtout pour elle. En y pensant il savait qu’il aurait dû se comporter différemment, il lui avait dit des choses durs comme le fait qu’ils valaient mieux que cela s’arrêtent avant de s’attacher sauf qu’au fond Alec s’était attacher à elle les raisons pour lesquels il l’avait quitté, il n’avait pas été prêt à changer pour qui que ce soit et pas même Maxyne et cela malgré tout ce qu’il pouvait éprouver pour elle, cela ne l’avait pas aidé à tout arrêté. Alec se relève doucement sentant le baiser de Ludmila sur sa joue avant qu’il se relève pour finalement s’habiller. Il pensait toujours que cela était une mauvaise idée pour lui d’aller à cet anniversaire plus encore qu’il avait été pris au dépourvu quand la jeune femme l’avait invité à la dernière minute. Aller a un anniversaire sans cadeau était une chose impensable, mais Mila avait toujours des idées pleins la tête et avait eu l’idée de penser au cadeau commun, il n’était pas très convaincu de cela. Ce n’était pas son truc, mais il ne pouvait plus faire marche arrière pas avec une Ludmila Alexander aussi borné qu’elle l’était. Rapidement, il s’était retrouvé seul dans sa chambre avec son chien Max où beaucoup avait pensé qu’il s’agissait d’un surnom face à son ex petite-amie alors qu’il n’en était rien. Alec avait adopté ce chien abandonné par ses anciens propriétaires et n’avait pas changé son prénom qui s’appelait à l’époque Max rien de plus. Il s’était agenouillé un instant pour jouer avec son chien qui l’aidait d’une manière générale à reprendre son calme, mais rien n’y faisait plus l’heure passé et plus son cœur s’emballait. Il reprit le plus possible ses esprits pour se décider à finir s’habiller, il avait mis un moment à savoir quoi mettre pour finalement choisir d’être lui-même dans quelque chose de confortable dans un jean foncé et une chemise noir qui lui allait parfaitement récupérant au passage sa veste en cuir noir qui ne le quittait jamais. Il sortit assez rapidement de la chambre pour rejoindre le salon de la jeune femme. Ludmila ne semblait pas prête ce qui avait eu le don de rendre le jeune homme plus nerveux. Il ne pouvait pas s’empêcher de se demander ce qui se passerait, ce que dirait Maxyne, elle devait le détester et il le comprenait, il se demandait même pourquoi il n’avait pas pris ses jambes à son cou pour fuir le domicile de son ami, mais il savait que cela ne servirait à rien. Il devait l’affronter même s’il ignorait s’il le pouvait. Les mains dans ses poches pour finalement les retirer, il croisa les bras pour les décroiser une seconde plus tard pour au final faire les cents pas avant de boire un verre qui se trouvait à quelques mètre de lui. Il avait besoin d’avoir les idées claires et surtout de se calmer et ne pu s’empêcher de rapidement vider son verre pour en prendre un second avant de s’arrêter il savait que cela était une mauvaise idée par chance, Ludmila arriva pour finalement partir dans le quartier d’Echo Park, Alec et la jeune femme avaient choisis de marcher, car Alec en avait besoin, il avait eu besoin de ce temps pour réfléchir, il avait beau ce faire tous les scénarios possible il n’arrivait pas à savoir ce qui se passerait. Comment réagirait-elle après autant de temps. Alec et elle s’étaient davantage fuit l’un et l’autre difficile quand ils avaient certains amis en commun, mais jusqu’ici ils avaient réussis sauf que maintenant il ne pouvait plus partir pas quand il était arrivé devant cette maison et cette porte blanche. Ludmila voulu sonner à la porte, mais Alec l’arrêta. Il avait encore besoin de quelques secondes en vérité il avait besoin de plusieurs heures bien qu’il savait que cela ne servirait à rien. Pour lui tout cela était une mauvaise idée. Il savait qu’une fois franchi la porte, il ne pouvait plus reculer, il devait la voir, lui parler sans savoir s’il le pourrait. « Tu verras ça va aller » la voix douce de Ludmila l’avait fait sourire, mais il était moins certain de ses mots. Il ne pu réfléchir davantage quand la jeune femme finir par sonner laissant la sonnerie retentir pour que quelques secondes plus tard quelqu’un leur ouvre. Alec avait tenté de sourire assez difficile avant d’entrer derrière Ludmila pour se retrouver dans une maison tout ce qu’il y avait de spacieux, où l’ambiance était déjà à son rendez-vous. On avait dirigé Alec et Mila vers le patio où déjà pas mal de personne se trouvait. Alec passa une main dans ses cheveux laissant dans un premier temps les lunettes de soleil qu’il portait cela était stupide, mais il pensait davantage qu’on ne le remarquerait moins ainsi surtout qu’il tentait de s’isoler comme il pouvait même si son regard ne cessait d’aller vers la droite puis la gauche avant de remarquer que la jeune femme n’était pas encore là une chose qui semblait le soulager même s’il savait que cela ne serait pas pour longtemps. Rapidement il vit Ludmila le laisser surement parce qu’elle avait enfin vu Maxyne, Alec avait pu se sentir paralysé rien qu’à l’idée de poser son regard sur elle pour au final marcher rapidement au plus loin récupérant une coupe de champagne. Dès que Maxyne arriva il pu entendre l’enthousiasme des gens, il ne l’avait pas vu, il avait juste pu entendre sa voix assez pour le surprendre. Il avait eu beau ne pas l’avoir distingué parmi la foule, sa voix était ancré en lui. Il avait l’impression que c’était encore hier qu’elle rigolait avec lui, un rire qu’il avait toujours aimé et pourtant qui était à des années lumières. Quand Alec tourne la tête doucement lui qui avait tout fait pour l’évite ne peut pas s’empêcher de croiser le regard de la jeune femme qui le remarque de loin, mais le voit il le sait surtout quand son sourire s’efface de son visage laissant certainement le choc se faire ressentir dans son esprit. Que faisait-il là ? à vrai dire il n’en avait aucune idée, il avait beau faire comme il pouvait pour ne pas sentir le regard de Maxyne sur lui il ne pouvait pas faire autrement, il savait qu’elle le dévisageait et il savait que c’était à cet instant qu’il aurait dû marcher vers elle pour tenter de lui parler, mais il ne pouvait pas comme s’il avait été paralysé. Alec sent la panique l’envahir, la peur se remplir pour finalement se détourner d’elle et sans même lui jeter un regard marcher d’un pas sur pour quitter le patio et cette maison auquel il sait qu’il n’aurait jamais dû venir. C’était une mauvaise idée, il le savait il en était convaincu. Il n’avait pas le droit de lui faire subir cela et il ne pouvait pas être ici, pas après l’avoir autant blessé. Alec passe une main dans ses cheveux entendant dans un premier temps son prénom, il sait surement qu’il s’agit de Ludmila, mais cette fois-ci il ne se retourne pas et ne s’arrête pas. Il sait parfaitement qu’il agit comme un idiot, mais à cet instant précis il se fiche de tout. « Alec… Attends-moi… » Alec s’arrête sans le vouloir plus quand il sent la main de Maxyne dans la sienne assez pour le surprendre d’une sensation assez étrange. Dos à elle, il n’arrive pas à se retourner, cela lui semble beaucoup trop difficile, mais il sait qu’il n’a plus le choix, qu’il lui doit au moins ça se retrouver à lui parler, qu’il ne peut plus fuir et doucement Alec fini par se retourner  pour cette fois-ci se retrouver face à la jeune femme. Durant plusieurs seconde il garde la tête baissé avant d’inspirer profondément et de la relever pour apercevoir le visage de Maxyne, un visage qui le trouble au plus au point. Il voudrait dire quelque chose, mais il ne sait pas quoi faire beaucoup trop submergé par un flot d’émotions qu’il ne peut lui permettre d’exprimer un mot, pas à cet instant où il sent le regard de Maxyne sur lui et la main de la jeune femme toujours dans la sienne.  « Je suis désolée » Alec fonce un instant les sourcils sans être certain d’avoir entendu ces mots avant de la regarder troubler sans comprendre. « Pourquoi ? » finit-il par déclarer doucement l’air perdu, ce n’était pas à elle de l’être bien au contraire. « C’est moi qui le suis, je suis désolé Maxyne » il sent doucement sa gorge se serré ses mots il savait qu’il aurait dû lui dire il y a longtemps, mais il n’avait pas réussi avant cet instant. « Je suis désolé pour tout ce que je te fais tu ne méritait pas ça » Alec baisse une nouvelle fois la tête sentant cette culpabilité remonté à la surface. « J’aurai dû te le dire plutôt, mais je, je n’y arrivais pas, pas après tout ce que je t’ai fait » il savait le mal qu’il lui avait fait combien les mots avaient pu la blesser après autant d’années surtout après tout ce qu’elle avait vécu, il n’avait fait que lui rajouter une couche en la quittant et en fuyant comme un voleur et un égoïste qu’il avait été. « Tu ne me dois rien Maxyne absolument rien, je suis même surpris que tu ne me déteste pas » bien au contraire quand il sentait le regard de Maxyne sur lui elle ne semblait pas en colère c’était même étrange assez pour le perturber et sentir cette chaleur l’enivrer pour au final lâchant doucement la main de la jeune femme la chose qui lui semblait être le mieux à faire.
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